Ecoute moi bien je t’explique celui qui m’a dit ‘’ flow pourris ’’
La jalousie amène les ennuis forts en poursuite
Ecoute comment je manie les noms, les adjectifs et les adverbes
Ne me dit pas c’est bon le Portugais invariable merde est un adepte
Mais non je vari te fait des variantes avec les lettres
Je coupe le H en deux et j’obtiens tes deux T de traitre
La langue Française je l’épure c’est pas celle de ta mère
Bonhomme c’est dur d’apprendre que sa mère n’est pas saine
Ta voulu le trône mais tu connait le revère de la médaille
T’es une gourmande d’ailleurs ta sœur l’était avec mon organe
Oh regarde c’est vrai que j’ai les cheveux un peu en bataille
Comme nous deux mais c’est toi qui descend a ma taille
La devant ton tier-car je te remets a ta place te montre qui est grand
Qui est le gland, qui se le prend mat mon clan
Les miens savent comment sa marche si un chien stop la procession
Il connaîtra la confession diffamation lors du processus
Déjà 16 mesure que tu suce que je te purge en divulguant la vérité
Une faute avouée est à moitié pardonner et tu la pas mérité
Je suis trop bon mais toi tu ne connais pas la bonté
Ta tout croqué a saigné assigner puis je t’es gonflé
Ta gueule c’est un ballon de baudruche tout comme ton âme
Elle est souillée fait comme l’autruche la tête dans le sable
Cache-toi, honte a toi, mais non jamais tu seras lavé
Trahir c’est péché, péché c’est mourir, mourir c’est laissé ta vie
Aller pose les clefs sur la table si tu veux pas qu’ont force ta serrure
Une deuxième fois tu sait que je suis instable depuis mes blessures
Même à l’usure je ne suis pas usable car ont sait que je tiens la route
Je ne suis pas de ceux qui jacte qu’on encore un cartable la redoute
T’es le grain de sable dans l’enrouage sans aucun doute
Même Coubert ne t’aurait pas fait de courbette à genoux
Face a toi un analphabète a trop de méninge téma ma grand mère
Et dieux sait si elle en a fait des ménage tu fait honte a ton père